A l’école des pompes funèbres
A l’école des pompes funèbres
Zoé Cauwet
Une salle de classe étroite et moderne, ayant pour seule décoration deux cercueils en bois posés contre le mur. Une horloge, au fond de la pièce, égrène les secondes. Assis à leurs pupitres individuels, dix-huit stagiaires, femmes et hommes, de 25 à 50 ans, vont suivre pendant quatre semaines une formation aux métiers des Pompes Funèbres. Où l’on découvre qu’il est compliqué de mourir.
Soutien de Bretagne Cinéma : subvention
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